Une étoile est né
Puis les années ont passées
Combien de temps encore?
Avant que sa lueur ne s'éteigne...
Infiniment grand, c'est géant!
Chaque jour subsiste l'espoir
Qui s'effrite un peu plus lorsqu'il fait noir
Ce n'est pas la peur - Non plus la mort
C'est comme une immense douleur qui s'évapore
Au rythme des saisons
Les feuilles tombent, les amours vont
Un peu comme la neige qui fond
Un jour c'est l'hiver, la tempête
Le lendemain on voit déjà le gazon!
Chacun son rythme, chacun sa chanson
La musique inspire notre vie
Qu'on la passe à rêver, Qu'on passe à l'action
Cest vieilles blessures de guerre qui nous paralysent
Mon rêve au quotidien, celui de mes voisins
Tous les jours le même refrain
On tape du pied, on frappe des mains
C'est le quotidien dans ma bulle
Une prison sans cellule...
    
    Puis les années ont passées
Combien de temps encore?
Avant que sa lueur ne s'éteigne...
Infiniment grand, c'est géant!
Chaque jour subsiste l'espoir
Qui s'effrite un peu plus lorsqu'il fait noir
Ce n'est pas la peur - Non plus la mort
C'est comme une immense douleur qui s'évapore
Au rythme des saisons
Les feuilles tombent, les amours vont
Un peu comme la neige qui fond
Un jour c'est l'hiver, la tempête
Le lendemain on voit déjà le gazon!
Chacun son rythme, chacun sa chanson
La musique inspire notre vie
Qu'on la passe à rêver, Qu'on passe à l'action
Cest vieilles blessures de guerre qui nous paralysent
Mon rêve au quotidien, celui de mes voisins
Tous les jours le même refrain
On tape du pied, on frappe des mains
C'est le quotidien dans ma bulle
Une prison sans cellule...
Libellés : poésie du trotteur


1 Commentaires:
At 11:11 p.m., Anonyme said…
 Anonyme said…
Je l'avais appelé "Tapon". Tu sais, ce petit éléphant rose ou orange que je gardais sur mon babillard dans ma chambre, juste à côté de ta photo, que tu avais prise à New York. Je te parlais au téléphone ce jour-là, j'étais assise par terre, au pied de mon lit... et aujourd'hui, une dizaine d'années plus tard, je retrouve toujours ta sensibilité, ici, dans tes mots. Merci de m'avoir fait découvert.
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