Pressé par le temps,
J'agite le drapeau blanc,
La victoire semble impossible,
Maintenant que tu n'es plus là...
Une silhouette s'anime à la fenêtre,
J'espère toujours te voir réapparaître,
Mais la nuit passe et je reste seul,
La vie se résume simplement à ca?
Une lueur d'espoir, Un brin d'innocence,
Un chat noir qui se faufille,
Sous une échelle, un miroir,
C'est sans issue, tout est foutu!
Je reviens de loin, mais tu es déjà reparti,
Sans même penser à tout ce que j'ai dit,
J'ai beau y repenser, je resterai toujours,
L'ombre d'un bon gars...
Je te revois, t'avancant dans le noir,
Ton odeur, celle du désespoir,
On avait tout pour être heureux,
Du moins, moi j'y croyais un peu...
La vie n'est qu'une longue épreuve,
Qui nous use et nous transforme,
Je cherche parfois à fuir,
Retrouver ces paradis artificiels,
Là où les disjonctés ne paient pas d'impôts,
Les regards parlent plus que les mots,
Les heures s'égrainent sur papier,
et finissent par être consommer...
Une grande respiration,
Une bonne bouffée d'inspiration,
Tu poses, hélas, trop de question,
Et hésite à entrer en action...
Une de perdue, dix de retrouvée...
Rien n'a jamais été aussi faux!
Depuis ton départ,
Mon corps nage dans le noir...
Une flèche empoisonnée,
Mon royaume pour un baiser,
J'ai besoin de partager,
Réapprendre à apprivoisser...
À la recherche de vérité,
J'en ai que faire de toute cette superficialité,
La laideur du monde me dégoute,
Tout est faux et tous y goutent...
    
    J'agite le drapeau blanc,
La victoire semble impossible,
Maintenant que tu n'es plus là...
Une silhouette s'anime à la fenêtre,
J'espère toujours te voir réapparaître,
Mais la nuit passe et je reste seul,
La vie se résume simplement à ca?
Une lueur d'espoir, Un brin d'innocence,
Un chat noir qui se faufille,
Sous une échelle, un miroir,
C'est sans issue, tout est foutu!
Je reviens de loin, mais tu es déjà reparti,
Sans même penser à tout ce que j'ai dit,
J'ai beau y repenser, je resterai toujours,
L'ombre d'un bon gars...
Je te revois, t'avancant dans le noir,
Ton odeur, celle du désespoir,
On avait tout pour être heureux,
Du moins, moi j'y croyais un peu...
La vie n'est qu'une longue épreuve,
Qui nous use et nous transforme,
Je cherche parfois à fuir,
Retrouver ces paradis artificiels,
Là où les disjonctés ne paient pas d'impôts,
Les regards parlent plus que les mots,
Les heures s'égrainent sur papier,
et finissent par être consommer...
Une grande respiration,
Une bonne bouffée d'inspiration,
Tu poses, hélas, trop de question,
Et hésite à entrer en action...
Une de perdue, dix de retrouvée...
Rien n'a jamais été aussi faux!
Depuis ton départ,
Mon corps nage dans le noir...
Une flèche empoisonnée,
Mon royaume pour un baiser,
J'ai besoin de partager,
Réapprendre à apprivoisser...
À la recherche de vérité,
J'en ai que faire de toute cette superficialité,
La laideur du monde me dégoute,
Tout est faux et tous y goutent...
Libellés : poésie du trotteur
 
	


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