Tout est parfait,
Si ce n'était,
De toutes ces imperfections,
Qui nous font sentir cons...
La vie est tellement plus plate
Que dans nos rêves d'adolescent
Il y a ceux qui partent
Et ceux qui continuent à ce battre
Chaque jours le même combat,
L'espoir dicte mes pas,
Je résiste, je ne suis hélas,
Que l'ombre de moi-même
Mourir, c'est si facile
Car la vie est si fragile
Mais a quoi bon tout laisser tomber
Mourir, c'est tomber dans l'oubli
Personne n'est à l'abri
Hier encore, tout près d'ici
Le désespoir, tard a sévi
Ne reste que l'espoir de la vie...
    
    Si ce n'était,
De toutes ces imperfections,
Qui nous font sentir cons...
La vie est tellement plus plate
Que dans nos rêves d'adolescent
Il y a ceux qui partent
Et ceux qui continuent à ce battre
Chaque jours le même combat,
L'espoir dicte mes pas,
Je résiste, je ne suis hélas,
Que l'ombre de moi-même
Mourir, c'est si facile
Car la vie est si fragile
Mais a quoi bon tout laisser tomber
Mourir, c'est tomber dans l'oubli
Personne n'est à l'abri
Hier encore, tout près d'ici
Le désespoir, tard a sévi
Ne reste que l'espoir de la vie...
Libellés : poésie du trotteur
 
	


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