Voler les images, hacker mes posts, mais surtout, surtout, ne laisser pas de commentaires je pourrais y prendre gout!
Un nouveau look?
29 avril 2008
      Bon je sais qui a pas grand monde qui viennent sur ce blog... et ceux qui y vienne c'est surement a cause d'une malencontreuse erreur... Et bien peu importe, CE BLOG JOUIT MAINTENANT D'UN TOUT NOUVEAU DESIGN (kitsch)!
Voler les images, hacker mes posts, mais surtout, surtout, ne laisser pas de commentaires je pourrais y prendre gout!
    
    Voler les images, hacker mes posts, mais surtout, surtout, ne laisser pas de commentaires je pourrais y prendre gout!
Page Blanche
28 avril 2008
      La page blanche, le coeur étanche
Loin comme un souvenir de Floride
Vieux comme l'expression torride
J'en rêve la nuit, inlassablement
J'en reverais toutes les nuits
Mais ca serait indécent
Vaut mieux vivre au présent
Moins irréel, moins énigmatique...
__________________________________
__________________________________
Vu d'ici, tout est flou
L'avenir nous menera où?
Une rivière infranchissable
Les Caîds sont tous monnayables
__________________________________
__________________________________
Sans foi ni loi
Moi aussi j'ai peur parfois
Mais je pense a toi et tout s'efface
Car ton sourire est contagieux
Je deviens fièvreux
Je devrais garder le lit
Et me faire du soucis...
    
    Loin comme un souvenir de Floride
Vieux comme l'expression torride
J'en rêve la nuit, inlassablement
J'en reverais toutes les nuits
Mais ca serait indécent
Vaut mieux vivre au présent
Moins irréel, moins énigmatique...
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Vu d'ici, tout est flou
L'avenir nous menera où?
Une rivière infranchissable
Les Caîds sont tous monnayables
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Sans foi ni loi
Moi aussi j'ai peur parfois
Mais je pense a toi et tout s'efface
Car ton sourire est contagieux
Je deviens fièvreux
Je devrais garder le lit
Et me faire du soucis...
Libellés : poésie du trotteur
Citation du jour
26 avril 2008
      "L'amour n'est pas aveugle, il est aveuglant."
-Yvan Audouard-
    
    -Yvan Audouard-
Lucero + Yesterday's Ring le 22 avril au Foufs
25 avril 2008
      Je dois l'avouer, ca faisait (très) longtemps que je voulais voir Yesterday's Ring en show. En fait, j'allais voir ce spectacle simplement pour eux. Et franchement, ce que j'avais entendu de Lucero ne m'avait pas grandement impressionné. Donc, un beau mardi soir qui commence par quelques petites bières avec Marna sur la terrasse des Foufs pour profiter du 4@8 et ensuite une bonne dose de Yesterday's Ring, avec la promesse d'une tonne de nouvelles chansons. Même ma grand-mère n'aurait pu y succomber! (mais étrangement je ne l'ai pas vu dans la foule...)
Bon alors le premier groupe (dont j'ignore toujours le nom même si le chanteur l'a dit au moins 2 fois) était très bien. C'était le même groupe qui faisait la 1ere premiere-partie de Rudy Caya au Foufs. Le groupe manque un peu de présence sur scène mais la musique passe bien.
La salle était pleine pour Yesterday's Ring. Il aurait facilement pu faire la 1ere partie, et franchement j'aurais été encore plus emballé:) Mais bon, on a eu droit a plusieurs nouvelle chansons en plus de grands classique comme The red red river road at night, Fairy Tale of Montreal, El Rancho et encore plus. Et je dois dire que les nouvelles chansons ont vraiment l'air bien. Un peu plus smooth et mélancolique que les autres (si c'est possible). Bref un album très attendu d'un des groupe phare de la scène locale des dernières années. J'ai déjà hate de les revoir en show:)
Et bon je parle pas de Lucero pcque j'étais pu trop dedans et j'avais entendu tout ce que je voulais entendre pour cette soirée:)
    
    Bon alors le premier groupe (dont j'ignore toujours le nom même si le chanteur l'a dit au moins 2 fois) était très bien. C'était le même groupe qui faisait la 1ere premiere-partie de Rudy Caya au Foufs. Le groupe manque un peu de présence sur scène mais la musique passe bien.
La salle était pleine pour Yesterday's Ring. Il aurait facilement pu faire la 1ere partie, et franchement j'aurais été encore plus emballé:) Mais bon, on a eu droit a plusieurs nouvelle chansons en plus de grands classique comme The red red river road at night, Fairy Tale of Montreal, El Rancho et encore plus. Et je dois dire que les nouvelles chansons ont vraiment l'air bien. Un peu plus smooth et mélancolique que les autres (si c'est possible). Bref un album très attendu d'un des groupe phare de la scène locale des dernières années. J'ai déjà hate de les revoir en show:)
Et bon je parle pas de Lucero pcque j'étais pu trop dedans et j'avais entendu tout ce que je voulais entendre pour cette soirée:)
Libellés : Punk Rock Show
Ma vie comme un Riopelle
16 avril 2008
      Il était temps de changer d'air
Faire le vide, repartir à neuf
Un nouveau départ dans la même direction
Sans vraiment connaître la destination
Ici et là, sans trop s'en soucier
Les lois sont faites pour être contournées...
Si nous nous étions rencontré 10 ans plus tôt
Je n'aurais su quoi dire, je n'aurais su quoi faire
Je n'aurais su quoi penser, aurais-je seulement osé?
Oser me donner la chance d'esperer
Oser esperer pouvoir oser...
Les temps ont changé, les années ont passé
Me revoilà à cracher l'encre sur papier
Au début, j'aurais tué pour être reconnu
Maintenant je le fais pour moi
Sans trop chercher à comprendre
Je laisse aller les choses, jours après jours
Le quotidien, avec ses hauts, avec ses bas
L'ordinaire qu'on embellit ça et là...
À la lueur d'une chandelle
Ma vie comme un Riopelle
De simples tâches de peinture et petit à petit
Prend forme la toile de ma vie
Du bleu, du rouge et beaucoup de zones obscures
Et puis un jours, ça vaut une fortune
Post-mortem, quelqu'un reconnaitra peut-être
Le génie qui en moi voulait naître
Avant-gardiste?
Je ne suis que l'ombre de l'artiste...
    
    Faire le vide, repartir à neuf
Un nouveau départ dans la même direction
Sans vraiment connaître la destination
Ici et là, sans trop s'en soucier
Les lois sont faites pour être contournées...
Si nous nous étions rencontré 10 ans plus tôt
Je n'aurais su quoi dire, je n'aurais su quoi faire
Je n'aurais su quoi penser, aurais-je seulement osé?
Oser me donner la chance d'esperer
Oser esperer pouvoir oser...
Les temps ont changé, les années ont passé
Me revoilà à cracher l'encre sur papier
Au début, j'aurais tué pour être reconnu
Maintenant je le fais pour moi
Sans trop chercher à comprendre
Je laisse aller les choses, jours après jours
Le quotidien, avec ses hauts, avec ses bas
L'ordinaire qu'on embellit ça et là...
À la lueur d'une chandelle
Ma vie comme un Riopelle
De simples tâches de peinture et petit à petit
Prend forme la toile de ma vie
Du bleu, du rouge et beaucoup de zones obscures
Et puis un jours, ça vaut une fortune
Post-mortem, quelqu'un reconnaitra peut-être
Le génie qui en moi voulait naître
Avant-gardiste?
Je ne suis que l'ombre de l'artiste...
Libellés : poésie du trotteur
Une prison sans cellule
12 avril 2008
      Une étoile est né
Puis les années ont passées
Combien de temps encore?
Avant que sa lueur ne s'éteigne...
Infiniment grand, c'est géant!
Chaque jour subsiste l'espoir
Qui s'effrite un peu plus lorsqu'il fait noir
Ce n'est pas la peur - Non plus la mort
C'est comme une immense douleur qui s'évapore
Au rythme des saisons
Les feuilles tombent, les amours vont
Un peu comme la neige qui fond
Un jour c'est l'hiver, la tempête
Le lendemain on voit déjà le gazon!
Chacun son rythme, chacun sa chanson
La musique inspire notre vie
Qu'on la passe à rêver, Qu'on passe à l'action
Cest vieilles blessures de guerre qui nous paralysent
Mon rêve au quotidien, celui de mes voisins
Tous les jours le même refrain
On tape du pied, on frappe des mains
C'est le quotidien dans ma bulle
Une prison sans cellule...
    
    Puis les années ont passées
Combien de temps encore?
Avant que sa lueur ne s'éteigne...
Infiniment grand, c'est géant!
Chaque jour subsiste l'espoir
Qui s'effrite un peu plus lorsqu'il fait noir
Ce n'est pas la peur - Non plus la mort
C'est comme une immense douleur qui s'évapore
Au rythme des saisons
Les feuilles tombent, les amours vont
Un peu comme la neige qui fond
Un jour c'est l'hiver, la tempête
Le lendemain on voit déjà le gazon!
Chacun son rythme, chacun sa chanson
La musique inspire notre vie
Qu'on la passe à rêver, Qu'on passe à l'action
Cest vieilles blessures de guerre qui nous paralysent
Mon rêve au quotidien, celui de mes voisins
Tous les jours le même refrain
On tape du pied, on frappe des mains
C'est le quotidien dans ma bulle
Une prison sans cellule...
Libellés : poésie du trotteur
Sous une échelle, un miroir
10 avril 2008
      Pressé par le temps,
J'agite le drapeau blanc,
La victoire semble impossible,
Maintenant que tu n'es plus là...
Une silhouette s'anime à la fenêtre,
J'espère toujours te voir réapparaître,
Mais la nuit passe et je reste seul,
La vie se résume simplement à ca?
Une lueur d'espoir, Un brin d'innocence,
Un chat noir qui se faufille,
Sous une échelle, un miroir,
C'est sans issue, tout est foutu!
Je reviens de loin, mais tu es déjà reparti,
Sans même penser à tout ce que j'ai dit,
J'ai beau y repenser, je resterai toujours,
L'ombre d'un bon gars...
Je te revois, t'avancant dans le noir,
Ton odeur, celle du désespoir,
On avait tout pour être heureux,
Du moins, moi j'y croyais un peu...
La vie n'est qu'une longue épreuve,
Qui nous use et nous transforme,
Je cherche parfois à fuir,
Retrouver ces paradis artificiels,
Là où les disjonctés ne paient pas d'impôts,
Les regards parlent plus que les mots,
Les heures s'égrainent sur papier,
et finissent par être consommer...
Une grande respiration,
Une bonne bouffée d'inspiration,
Tu poses, hélas, trop de question,
Et hésite à entrer en action...
Une de perdue, dix de retrouvée...
Rien n'a jamais été aussi faux!
Depuis ton départ,
Mon corps nage dans le noir...
Une flèche empoisonnée,
Mon royaume pour un baiser,
J'ai besoin de partager,
Réapprendre à apprivoisser...
À la recherche de vérité,
J'en ai que faire de toute cette superficialité,
La laideur du monde me dégoute,
Tout est faux et tous y goutent...
    
    J'agite le drapeau blanc,
La victoire semble impossible,
Maintenant que tu n'es plus là...
Une silhouette s'anime à la fenêtre,
J'espère toujours te voir réapparaître,
Mais la nuit passe et je reste seul,
La vie se résume simplement à ca?
Une lueur d'espoir, Un brin d'innocence,
Un chat noir qui se faufille,
Sous une échelle, un miroir,
C'est sans issue, tout est foutu!
Je reviens de loin, mais tu es déjà reparti,
Sans même penser à tout ce que j'ai dit,
J'ai beau y repenser, je resterai toujours,
L'ombre d'un bon gars...
Je te revois, t'avancant dans le noir,
Ton odeur, celle du désespoir,
On avait tout pour être heureux,
Du moins, moi j'y croyais un peu...
La vie n'est qu'une longue épreuve,
Qui nous use et nous transforme,
Je cherche parfois à fuir,
Retrouver ces paradis artificiels,
Là où les disjonctés ne paient pas d'impôts,
Les regards parlent plus que les mots,
Les heures s'égrainent sur papier,
et finissent par être consommer...
Une grande respiration,
Une bonne bouffée d'inspiration,
Tu poses, hélas, trop de question,
Et hésite à entrer en action...
Une de perdue, dix de retrouvée...
Rien n'a jamais été aussi faux!
Depuis ton départ,
Mon corps nage dans le noir...
Une flèche empoisonnée,
Mon royaume pour un baiser,
J'ai besoin de partager,
Réapprendre à apprivoisser...
À la recherche de vérité,
J'en ai que faire de toute cette superficialité,
La laideur du monde me dégoute,
Tout est faux et tous y goutent...
Libellés : poésie du trotteur
Des espoirs
      C'est si simple, c'est si clair
Mais hier encore, j'ai perdu espoir
Défaillance passagère
Mon coeur a fait la guerre
Le plus dur des combat
Celui qu'on ne fait pas
Lorsque tout devient flou
Lorsque les hommes deviennent fous
Et s'entretue pour de l'or noir
L'humanité mérite son sort...
L'argent ne fait pas le bonheur
Mais attire les faveurs
Ouvre les portes
Et attire les faveurs
Subtilement, ils rodent autour
A l'affût, prêt a dévorer
Les restes froids sur le canapé
Pendant que leurs hôtes se poudrent le nez...
    
    Mais hier encore, j'ai perdu espoir
Défaillance passagère
Mon coeur a fait la guerre
Le plus dur des combat
Celui qu'on ne fait pas
Lorsque tout devient flou
Lorsque les hommes deviennent fous
Et s'entretue pour de l'or noir
L'humanité mérite son sort...
L'argent ne fait pas le bonheur
Mais attire les faveurs
Ouvre les portes
Et attire les faveurs
Subtilement, ils rodent autour
A l'affût, prêt a dévorer
Les restes froids sur le canapé
Pendant que leurs hôtes se poudrent le nez...
Libellés : poésie du trotteur
Machine 15 - Millencolin
3 avril 2008
      J'écoutes depuis quelques jours le dernier album de Millencolin. On sent que le groupe continue sur la lancée des derniers albums(Kingwood, Home From Home) avec un son soft-core bien à eux. Machine 15 renferme de belles surprises et il s'écoute très bien. Ce qui à fait le succès du groupe est toujours présent, les riffs accrocheurs, la voix sincère du chanteur, les refrains qu'on fredonne toute la journée. On sent que le groupe s'éloigne de plus en plus de ses racines, délaissant l'intensité et l'humour qui  ont fait sa renommée pour explorer d'autres avenues, ce qui déplaira surement aux fans de la première heure. Nikola Sarcevic, le chanteur du groupe, nous a démontré avec ses 2 albums solos qu'il avait passé à une autre étape de sa vie musical et je vois Machine 15 comme une continuité et non un nouveau départ. 
Mes coup de coeur : Route One, Ducks And Drakes et machine 15.
    
    Mes coup de coeur : Route One, Ducks And Drakes et machine 15.
Libellés : millencolin machine 15
Tout est parfait
      Tout est parfait,
Si ce n'était,
De toutes ces imperfections,
Qui nous font sentir cons...
La vie est tellement plus plate
Que dans nos rêves d'adolescent
Il y a ceux qui partent
Et ceux qui continuent à ce battre
Chaque jours le même combat,
L'espoir dicte mes pas,
Je résiste, je ne suis hélas,
Que l'ombre de moi-même
Mourir, c'est si facile
Car la vie est si fragile
Mais a quoi bon tout laisser tomber
Mourir, c'est tomber dans l'oubli
Personne n'est à l'abri
Hier encore, tout près d'ici
Le désespoir, tard a sévi
Ne reste que l'espoir de la vie...
    
    Si ce n'était,
De toutes ces imperfections,
Qui nous font sentir cons...
La vie est tellement plus plate
Que dans nos rêves d'adolescent
Il y a ceux qui partent
Et ceux qui continuent à ce battre
Chaque jours le même combat,
L'espoir dicte mes pas,
Je résiste, je ne suis hélas,
Que l'ombre de moi-même
Mourir, c'est si facile
Car la vie est si fragile
Mais a quoi bon tout laisser tomber
Mourir, c'est tomber dans l'oubli
Personne n'est à l'abri
Hier encore, tout près d'ici
Le désespoir, tard a sévi
Ne reste que l'espoir de la vie...
Libellés : poésie du trotteur
Le bout du monde
1 avril 2008
      Au bout du monde, je continue d'avancer
Car au-dela de toutes ces frontières
Subsiste la beauté sauvage, inexploré
Continuer, je dois... continuer
Continuer d'avancer, sans trop me demander
Où nous allons lorsque la vie s'évapor
Certains vivent dans la crainte
Les autres continuent dans l'espoir
L'espoir d'un monde meilleur
L'espoir d'un monde irréel
Où l'humanité depuis le début des temps
s'entasserait éternellement
__________________________________________________
__________________________________________________
Rappelles-toi de moi
Car je ne t'oublierai jamais
Souviens-toi de moi
Donnes-moi ta main
Une vie pleine d'illusions
3 jours avant l'execution
Le coeur gros, la gorge sèche
Ces mots seront mes derniers
Mon amour est condamné
Aussi bien l'achever
Ça aurait pu marcher
Mais on est lâche et faible
La vie c'est beaucoup plus
Que du cul et des je t'aime
    
    Car au-dela de toutes ces frontières
Subsiste la beauté sauvage, inexploré
Continuer, je dois... continuer
Continuer d'avancer, sans trop me demander
Où nous allons lorsque la vie s'évapor
Certains vivent dans la crainte
Les autres continuent dans l'espoir
L'espoir d'un monde meilleur
L'espoir d'un monde irréel
Où l'humanité depuis le début des temps
s'entasserait éternellement
__________________________________________________
__________________________________________________
Rappelles-toi de moi
Car je ne t'oublierai jamais
Souviens-toi de moi
Donnes-moi ta main
Une vie pleine d'illusions
3 jours avant l'execution
Le coeur gros, la gorge sèche
Ces mots seront mes derniers
Mon amour est condamné
Aussi bien l'achever
Ça aurait pu marcher
Mais on est lâche et faible
La vie c'est beaucoup plus
Que du cul et des je t'aime
Libellés : poésie du trotteur
 
	

