Des fraises en février,
comme un baume sur mes engelures,
L'hiver est long,
La marmotte avait raison,
La température reste négative,
Comme un homme seul à la dérive,
L'hiver est encore long,
Le printemps semble si loin,
Comme un rêve, vague et brumeux,
L'air frais du matin, la fenêtre entrouverte...
Des fraises en février,
Comme pour oublier,
Les morsures des grands froids d'hiver,
A la lueur d'une chandelle,
L'ombre et la lumière s'affrontent en duel,
A la fenêtre, j'observe le ciel s'illuminer,
Le même ciel que tes yeux peuvent contempler...
Des fraises en février,
Enrobées de chocolat.
    
    comme un baume sur mes engelures,
L'hiver est long,
La marmotte avait raison,
La température reste négative,
Comme un homme seul à la dérive,
L'hiver est encore long,
Le printemps semble si loin,
Comme un rêve, vague et brumeux,
L'air frais du matin, la fenêtre entrouverte...
Des fraises en février,
Comme pour oublier,
Les morsures des grands froids d'hiver,
A la lueur d'une chandelle,
L'ombre et la lumière s'affrontent en duel,
A la fenêtre, j'observe le ciel s'illuminer,
Le même ciel que tes yeux peuvent contempler...
Des fraises en février,
Enrobées de chocolat.
Libellés : poésie du trotteur
 
	

